Mon parcours de vie
Au sommaire : Présentation générale de cette page PARCOURS - La vision du monde que je porte depuis l’âge de 15 ans - Les cinq dimensions de ma mission de vie telle qu’elle m’est apparue à 28 ans - Les Valeurs qui m’animent personnellement et professionnellement - Les réalisations qui ont jalonné mon parcours - Mon parcours intérieur décrivant les étapes importantes de mon évolution.
Mettre ma vie au service de l'autonomie, de la conscience et du respect, telle est ma vocation… Dans cette section, je tiens à vous livrer ce qui m’anime depuis toujours, aussi bien en tant qu’être humain qu’en tant que professionnel. Il me paraît important, en effet, de vous préciser pourquoi je fais ce que je fais depuis de nombreuses années avant de vous présenter ce que je propose aux personnes intéressées par mes services… Lire la suite >>
Dans la première section de cette page, je partage avec vous la vision du monde qui s’est forgée en moi à l’âge de quinze ans, à la suite de la lecture intégrale de la Divine Comédie de Dante. C’est cette vision qui me porte encore aujourd’hui dans le choix des actions que j’entreprends dans toutes les sphères de ma vie.
La deuxième section vous précise la manière dont je définis ma mission de vie telle qu’elle m’est apparue à l’âge de 28 ans lorsque je suis devenu formateur-accoucheur… Depuis ce temps-là, c’est à travers cinq dimensions complémentaires que ma mission s’est concrétisée de manière visible.
La troisième section vous présente les valeurs qui m’animent et qui conditionnent la manière dont je me comporte au quotidien. Car tel est le rôle premier des valeurs : celui de guider les choix de comportements que nous adoptons lorsque nous poursuivons un but… Autrement dit, en connaissant nos valeurs, la fin ne justifie plus n’importe quel moyen !
La quatrième section vous résume les réalisations majeures qui ont jalonné ma carrière au service de ma vision du monde. Ça vous permettra de mesurer quelle fut ma contribution personnelle à la collectivité depuis plus de trente-cinq ans. Comme le soulignait Pierre Rabhi, vous découvrirez comment j’estime avoir fait ma part de colibri dans le monde.
La cinquième section retrace pour vous mon parcours personnel et quels ont été les principaux points de bascule de mon évolution intérieure, à la faveur de tout ce que j’ai entrepris et vécu depuis l’âge de quinze ans.
Ma vision - J’ai quinze ans lorsque mon professeur de français me propose de lire La Divine Comédie, ce long poème d’amour écrit en vers par Dante Alighieri entre 1303 et 1321. Tout au long de cette histoire allégorique, l’auteur me fait découvrir une réflexion politique, spirituelle et philosophique sur le sens de la vie, de l’amour et de la mort. Son livre est considéré encore aujourd’hui comme l'un des chefs-d'œuvre de la littérature mondiale. C’est grâce à cette lecture que s’est allumée en moi une passion pour la philosophie et les questions de sens. Cette passion, tel un feu brûlant, ne s’est jamais éteinte depuis lors. C’est à partir de ce moment que je n’ai cessé de m’interroger sur l’avenir du monde, sur ma vision de la vie et sur mon rôle au sein de l’Humanité. Lire la suite >>
La vision que j’ai de la Vie (avec un grand V) et du monde m’a amené à méditer sur le sens de notre incarnation. Au fil des décennies traversées, j’en suis arrivé à considérer notre présence sur Terre comme si nous étions entrés dans une grande école, le jour de notre naissance. École dont nous ne sortirons que le jour de notre mort.
Dans cette perspective, je fais l’hypothèse que chaque être humain est sur Terre pour grandir en conscience, en amour, en compétences et en connaissance. Quelles que soient les épreuves qui nous tombent dessus, quelles que soient les expériences que nous vivons, nous avons toujours l’opportunité — si nous en faisons le choix — d’apprendre quelque chose qui nous fasse évoluer, du point de vue de l’âme.
Tout le reste, tout ce que nous faisons ou subissons, tout ce que nous entreprenons, toutes les relations que nous créons, toutes les souffrances que nous endurons, toutes les créations que nous accomplissons ne sont qu’autant de prétextes pour nous confronter à la résistance et à la lourdeur de la matière. Un peu comme si nous étions dans une salle de musculation spirituelle mise à notre disposition pour affiner de plus en plus l’éveil de notre conscience.
C’est dans cette perspective visionnaire que j’ai inscrit ma mission de vie, à l’âge de vingt-huit ans. Ce que je décris dans la section suivante…
Ma mission - J’ai la conviction que tout être humain né sur cette Terre s’est choisi (consciemment ou inconsciemment) une mission à accomplir au service de la communauté humaine. Il existe de nombreuses expressions pour désigner cette notion de mission de vie : axe de vie, raison d’être sur Terre, légende personnelle, ce qui donne du sens à notre existence, etc. En ce qui me concerne, la mission qui s’est imposée à moi consiste à aider les femmes et les hommes de bonne volonté à grandir en conscience, en amour, en compétences et en connaissance. Lire la suite >>
Au fil des années, la mission dont j’ai pris conscience à vingt-huit ans (en 1989) s’est manifestée via cinq dimensions complémentaires qui ont occupé plus ou moins de place en fonction des périodes de mon existence. Par contre, je n’ai jamais dévié de ce que je considère comme ma vocation, quelles qu’en fussent les conséquences pour moi.
Dimension 1 : Informer les cœurs et les consciences - Cette première dimension de ma mission concerne mon activité de conférencier, d’informateur et de vulgarisateur, aussi bien dans les salles physiques que dans mes capsules vidéos. Cette dimension a toujours été présente dans ma vie. En effet, j’ai toujours été passionné par la maîtrise de nouvelles connaissances dans une perspective pluridisciplinaire, en vue d’améliorer la qualité de mon existence sur les plans physique, psychologique et spirituel. Et c’est tout naturellement que j’ai eu envie très tôt de partager mes découvertes avec mon entourage proche dans un premier temps, avec le public par la suite…
Dimension 2 : Écrire de nouveaux paradigmes de vie - Cette deuxième dimension de ma mission concerne mon activité d’auteur d’articles et de livres, mais aussi celle (en projet) de scénariste et de romancier. Même si je n’y consacre plus tout le temps que je souhaiterais actuellement, j’ai toujours considéré l’écriture et la lecture comme de puissants processus de transformation intérieure et d’intégration. Tout simplement parce que l’écriture et la lecture demandent beaucoup plus de temps que la parole et l’écoute. Ce qui nous donne l’opportunité de plonger à l’intérieur de notre être pour y découvrir des trésors et des ressources insoupçonnées !
Dimension 3 : Former à l’autonomie responsable - Cette troisième dimension de ma mission concerne mon activité de formateur-accoucheur. Lorsque je conçois un nouveau programme de formation, le but que je poursuis est toujours le même : donner à mes étudiants les moyens d’acquérir des compétences qui leur permettent de vivre leur vie de manière plus consciente, plus autonome et plus responsable. Pour atteindre ce but, j’ai mis au point une stratégie pédagogique fondée sur trois piliers : la formation, l’apprentissage et l’entraînement. Ma plus belle récompense survient lorsque mes étudiants n’ont plus besoin de moi, parce que leur transformation s’est inscrite dans leur quotidien.
Dimension 4 : Protéger la vérité, la beauté et la bienveillance - Cette quatrième dimension de ma mission s’est révélée essentiellement dans les combats que j’ai menés contre les dérives autoritaires. J’ai combattu différentes formes d’inégalités, la course aux armements, les fraudes des compagnies pharmaceutiques. J’ai dénoncé l’imposture de tous les vaccins et j’ai dénoncé les pseudo-pandémies visant à instaurer un gouvernement mondial. Au-delà de ces combats, j’ai aussi défendu les découvertes de grands chercheurs comme Béchamp, Beljanski, Benvéniste ou Hamer et j’ai fait la promotion des œuvres et des initiatives qui célèbrent ce que l’Humanité a de meilleur.
Dimension 5 : Réenchanter nos vies et le monde - Cette cinquième dimension de ma mission traduit ma volonté de contribuer à bâtir un meilleur monde. C’est ainsi que, début 2020, j’ai lancé le projet d’un réseau international de cercles réenchanteurs visant à créer et promouvoir des conditions de vie plus humaines, plus respectueuses, plus équitables et plus épanouissantes dans 24 secteurs de notre expérience terrestre. Ces cercles sont de deux types : soit locaux et ancrés dans une région géographique bien définie, soit virtuels et centrés sur un ou plusieurs secteurs thématiques particuliers. Le but ultime est de reconstituer un tissu social vivant, supportant et solidaire.
Mes valeurs - Les valeurs d’un être humain sont les principes essentiels qui guident ses comportements et ses choix. À l’instar d’un gyroscope intérieur, les valeurs qui m’animent sont restées les mêmes, au fil des décennies. Ce sont elles qui m’ont aidé à poser les choix d’orientation de mon existence. Ce sont elles également qui sous-tendent et conditionnent l’ensemble des services que j’offre au public, dans chacune des dimensions de ma mission. Lire la suite >>
Valeur n°1 : La promotion de l’autonomie - Être autonome, c’est être capable d’identifier ses besoins fondamentaux, de les nommer et de poser des actes adaptés pour en prendre soin. Selon moi, l’apprentissage de l’autonomie est ce qui fait le plus défaut dans notre éducation et notre culture. J’y accorde une attention particulière et je considère cette valeur comme la plus importante de toutes. Sans autonomie, en effet, il me paraît impossible de bâtir un monde plus humain et plus fraternel, fondé sur la confiance et la coopération bienveillante.
Valeur n°2 : Le respect de l’intégrité - Tout être humain, parce qu’il est humain, a le droit inconditionnel et inaliénable d’être respecté dans son intégrité physique, psychique, émotionnelle, mentale et spirituelle. C’est la raison principale pour laquelle je suis prêt à me battre contre ce qui lui porte atteinte, quelles qu’en soient les conséquences. D’où mon acharnement à exposer le danger des vaccins, à décrypter les phénomènes de pouvoir et de manipulation et à dénoncer les abus de toute nature contre les êtres humains.
Valeur n°3 : L’humilité - Souvent nous confondons l’humilité avec l’humiliation et la dévalorisation. Fondamentalement, l’humilité consiste à coller au plus près de notre réalité, quelle qu’elle soit. Je veille donc, le plus souvent possible, à reconnaître mes limites et mes défauts. Dans le même élan, je m’emploie aussi à reconnaître mes potentialités et mes qualités, sans fausse modestie. Enfin, je me rappelle régulièrement que chaque être humain, sans exception, contribue à la création du tout.
Valeur n°4 : L’ouverture - L’ouverture ne consiste pas uniquement à regarder en face les problèmes et les tensions, sans faux-fuyants. C’est aussi accueillir sans cesse d’autres points de vue, d’autres conceptions de la réalité et favoriser la fertilisation croisée des différents champs de connaissance, dans une approche pluridisciplinaire et transdisciplinaire. C’est aussi considérer que je connais peu de choses et que chaque personne est potentiellement porteuse d’une part de la vérité.
Valeur n°5 : L’authenticité - Être authentique, pour moi, c’est abandonner l’envie de paraître, de porter un masque social (la persona) pour accueillir et intégrer l’ensemble de mes facettes, qu’elles soient lumineuses ou sombres. En acceptant de donner une part à chaque dimension de ma réalité, je peux incarner ce que Jung appelle le processus d’individuation, à savoir une démarche visant à devenir un être indivisé (l’individu).
Valeur n°6 : La congruence - Même si je suis loin d’être parfait, je veille à mettre mes actes en cohérence avec mes valeurs, mes pensées, mes opinions et mes croyances. Qu’il s’agisse de ma vie quotidienne, de ma vie sociale ou de mon activité professionnelle, je vérifie en permanence si les bottines suivent les babines (expression très courante au Québec). Cette valeur pourrait se résumer comme suit : je vis ce que j’enseigne et j’enseigne ce que je vis.
Valeur n°7 : La recherche de l’excellence - Étant donné que nous sommes ici sur Terre pour grandir en conscience, en amour, en compétences et en connaissance, je cherche à m’améliorer le plus souvent possible, dans un maximum de domaines de mon existence. Pour moi, rechercher l’excellence trouve sa raison d’être dans le respect et la bienveillance que nous devons avoir à l’égard des uns des autres. À ne pas confondre avec le perfectionnisme qui paralyse, mais à rapprocher d’une démarche de perfectionnement continu.
Valeur n°8 : L’incorruptibilité - Pour moi, la corruption ne concerne pas uniquement les personnes en position de pouvoir ou de décision qui se laissent acheter pour privilégier les intérêts de leurs pourvoyeurs. Elle existe chaque fois que nous donnons la priorité à l’avoir au détriment de l’être, par peur de manquer ou de ne plus exister. C’est la raison pour laquelle je veille à ce que mes décisions soient guidées le moins possible par des considérations d’argent ou de contrôle.
Valeur n°9 : Le doute systématique - Dans son introduction du Discours de la Méthode, René Descartes précisait que nous ne pourrons jamais être certains de quoi que ce soit dans notre quête de la connaissance. Cette pratique du doute systématique découlant de sa philosophie se trouve au cœur de mes démarches, tant pratiques que théoriques. C’est la raison pour laquelle je reste ouvert en permanence à la remise en question de mes convictions et de mes croyances.
Mes réalisations - « On reconnaît l’arbre à ses fruits », dit le proverbe… Au-delà des valeurs qui m’animent, il est important pour moi de manifester en actes ce pour quoi je me lève chaque matin, ce qui donne du sens à ma vie et ce que j’ai envie de laisser derrière moi, à titre de legs pour l’Humanité. Et le jour où je traverserai le grand miroir, je pourrai répondre fièrement à ces trois questions cruciales : « Qu’as-tu fait de ta vie ? Comment as-tu aimé ? Comment as-tu contribué à un projet plus grand que toi qui te dépassait ? » Lire la suite >>
Ce que j’ai étudié - En fait, je me considère comme un étudiant perpétuel depuis mon plus jeune âge. J’ai étudié la physique quantique, la philosophie et la pédagogie à l’université de Namur (Belgique). J’ai interrompu un doctorat en physique quantique et j’ai fait deux ans de recherche en pédagogie. Par la suite, je me suis formé de manière approfondie dans les domaines suivants : psychanalyse structurale, astrologie humaniste, approche systémique et pensée complexe, psychologie des profondeurs (Jung), principes fondamentaux des médecines globales, communication et management, Médecine Nouvelle (Hamer), thérapies alimentaires, vaccinologie, épistémologie des pratiques médicales…
Mes publications - À ce jour, j’ai écrit et publié dix livres, dont trois best-sellers à la longévité exceptionnelle, toujours en vente actuellement (Relations et jeux de pouvoir (1993), Le langage de la guérison (2000) et Prenez soin de vous, n’attendez pas que les autres le fassent (2004)). J’ai écrit des centaines d’articles depuis l’âge de 19 ans et j’ai collaboré avec de nombreuses revues alternatives, dont le magazine Intuitions, le magazine Trans-Mutations et le magazine Néosanté. La plupart de mes articles traite de l’épanouissement, de l’autonomie et l’indépendance des individus. Certains de ces articles peuvent encore être consultés sur mon blogue.
Mes entreprises - Même si ma mission peut être considérée comme humanitaire, j’ai toujours voulu garantir mon indépendance financière et ma liberté d’expression dans les actions que j’ai menées et dans les valeurs que j’ai défendues. C’est la raison pour laquelle j’ai choisi, dès ma sortie de l’université (1986), de créer des entreprises commerciales à but humanitaire. C’est grâce à cela que je me réjouis de ne subir aucune pression d’aucune nature dans l’accomplissement de ma mission. Actuellement, je gère des entreprises et je paie mes impôts en Belgique, au Canada et aux États-Unis afin de répondre à la diversité de nos clients répartis dans le monde.
Mon équipe - Depuis 2013, mes entreprises assurent la subsistance de 12 personnes, au Canada et en Europe. En tant que responsable, je veille essentiellement à ce que chaque personne soit en cohérence avec ce qui fait chanter son cœur et qu’elle puisse réaliser sa mission de vie tout en collaborant à mes projets. Je suis fier d’avoir su créer une ambiance où les relations sont authentiques et respectueuses, sans jeu de pouvoir ni manipulation entre nous. Ensemble, nous avons créé une dynamique d’entreprise apprenante, où chacun est invité à se remettre en question, à tirer les enseignements de ses expériences et à accueillir les interpellations venant des autres.
Mes formations et mes conférences - Entre 1989 et 2012, j’ai exercé ma vocation de formateur et de conférencier auprès de nombreux publics. C’est ainsi que j’ai animé 1 940 jours de formation au cours desquels j’ai eu le privilège d’accompagner plus de 22 000 personnes différentes dans des formations en petits groupes extrêmement divers (PDG, comités de direction, formateurs et thérapeutes professionnels, enseignants, jeunes parents, religieux, etc.). J’ai eu également l’honneur de donner plus de 2 100 conférences dans des salles physiques, inspirant près de 800 000 personnes en quête d’épanouissement et de mieux-être.
Mes cours et mes formations en ligne - Depuis 2013, je délivre mes services uniquement en ligne, via une plateforme de formation appelée Émergences-Formations. Ce tournant radical dans ma carrière a été motivé par trois éléments : rejoindre davantage de personnes dans tous les pays, pouvoir les accompagner sur une durée beaucoup plus longue (que lors des séminaires en présentiel) et réduire drastiquement le nombre de mes déplacements sur la planète. En huit ans, plus de 18 000 personnes différentes ont acheté un ou plusieurs produits de formation et près d’un million et demi de personnes ont reçu gratuitement un grand nombre de conseils en ligne.
Mes publications sur les réseaux sociaux - Depuis 2011, j’ai mis en ligne plus de 650 heures de vidéo d’information et de conseils sur YouTube, Facebook, FullLife Channel, Odysee, Twitch, D-Live et la chaîne privée de JJC. Ça représentait au total plus de 17 millions de vues sur YouTube et plus de 25 millions de vues sur Facebook, avant que ces deux médias ne décident de supprimer mes chaînes parce que « je ne respectais pas le règlement de la communauté » — comprendre par là : « je remettais trop en question la propagande des gouvernements et de l’OMS en matière de santé publique ». Malgré cette censure, je persévère dans ma mission auprès des personnes éprises de liberté et de vérité.
Mes engagements dans la société civile - Depuis l’âge de 15 ans, j’ai régulièrement répondu présent lorsque j’estimais que je pouvais mettre mon temps, mes compétences ou mes talents au service de la communauté humaine. C’est ainsi que j’ai assuré de multiples responsabilités dans diverses paroisses catholiques de 15 à 26 ans. J’ai milité dans des associations pacifistes, antinucléaires et écologiques. J’ai œuvré au sein d’ONG engagées dans la cause du Tiers-Monde. J’ai accompagné bénévolement des associations en difficulté de structuration. J’ai milité contre la vaccination et la chimiothérapie. Et je combats encore la propagande et la désinformation diffusée par les médias mainstream.
Mon parcours intérieur - L’évolution d’un être humain se fait rarement de manière continue et linéaire. Mon existence a été jalonnée par toute une série de points de bascule et de crises qui ont bousculé mes habitudes d’une part, qui ont confirmé ma trajectoire et ma mission de vie d’autre part. Loin d’être une biographie complète et exhaustive, cette section témoigne simplement des tournants majeurs qui ont émaillé ma vie jusqu’à présent. Et l’aventure est loin d’être terminée ! Lire la suite >>
1961 : Ma naissance - Je nais le 2 mai 1961 à Tirlemont, en Belgique, quinze jours avant terme et le lendemain de la fête du Travail. C’est sans doute pour cela que, depuis mon plus jeune âge, je ne cesse de travailler, de lire, d’étudier, de créer, de produire… C’est peut-être aussi pour cela qu’à l’âge de 35 ans, je prends la décision de ne jamais prendre ma retraite, pour continuer à servir ceux que je peux aider dans leur parcours de vie.
1976 : Le coup de foudre pour la philosophie - À l’âge de 15 ans, je sollicite mon professeur de français et lui demande de me confier une lecture à la hauteur de mes exigences. Il m’invite à lire une version commentée de La Divine Comédie de Dante (une édition de 5 000 pages que je lis intégralement). À la lecture de ce récit romanesque, je découvre avec enthousiasme une large présentation de l’héritage philosophique de l’Occident et la question centrale du sens de l’existence. Cette question du sens ne m’a plus jamais quitté.
1979 : Le choc de la réalité - En commençant mes études en sciences physiques à l’Université de Namur, je suis surpris de découvrir le monde tel qu’il est réellement. Je découvre les injustices sociales et économiques dans le monde, l’omniprésence du complexe militaro-industriel dans le financement de la recherche scientifique, les véritables conséquences de la colonisation, l’emprise de la finance internationale sur la vie des populations, l’existence de la pauvreté dans les pays riches. Pour moi, ces chocs rapprochés ont déterminé la ligne directrice de mes engagements : rétablir plus de justice sociale et humaine dans le monde.
1982 : La dynamique cachée des relations - Le 11 septembre 1982, je me marie avec Ananou. Trois mois plus tard, le 6 décembre, nous sommes en situation de rupture, avec une question choquante : « Pourquoi - et comment -, malgré les meilleures intentions du monde, en arrive-t-on à détruire la qualité de nos relations ? » Finalement, nous décidons de poursuivre notre route ensemble et de nous atteler à cette question, en faisant de notre couple un laboratoire d’observation, de recherche et d’expérimentation. C’est ce qui débouchera, sept ans plus tard, sur la naissance de la Dynamique Relationnelle Systémique que j’enseigne encore aujourd’hui.
1984 : L’abandon de ma thèse de doctorat - Avril 1984. Neuf mois que je travaille sur ma thèse de doctorat en physique quantique. Neuf mois que j’ai le sentiment que je m’éloigne de plus en plus de ce qui fait chanter mon cœur. Jusqu’à ce que je rencontre Edgar Morin lors d’une série de leçons de quatrième cycle à Louvain-la-Neuve. Sa perspective de la transdisciplinarité me transporte et résonne puissamment en moi : je sais, avec certitude, que ma destinée est d’étudier de nombreux champs de connaissances complémentaires, et de les relier les uns aux autres… Quinze jours plus tard, au désespoir de mon entourage, je démissionne du département de physique pour m’ouvrir à d’autres horizons.
1984 : Ma découverte de l’alchimie - À la suite de ma démission du département de physique, je me mets en quête de ce qui pourrait constituer ma mission de vie. Mon intuition me pousse à explorer la symbolique des contes de fées. C’est là que je découvre l’alchimie spirituelle développée par Carl Gustav Jung, une démarche qui change radicalement ma vision du monde en me permettant de sortir de la dualité « Bien - Mal » pour intégrer toutes les facettes de l’existence humaine dans un processus d’individuation. Ce changement radical de perspective est devenu le fil conducteur de toute ma vie, depuis ce moment fondateur de ma vision du monde.
1984 : La révélation de la maïeutique de Socrate - En septembre 1984, je m’inscris à la faculté de philosophie de l’Université de Namur. Dans un de mes cours d’histoire de la philosophie, je découvre avec émotion la figure de Socrate, considéré comme le père fondateur de la philosophie occidentale. Je suis surtout touché par sa démarche— la maïeutique — qui consiste à faire accoucher les individus des réponses qu’ils portent déjà en eux, sans le savoir. À ce moment précis, j’ai l’intuition que c’est comme cela que j’agirai le reste de mon existence : en faisant toujours confiance dans le potentiel et les ressources des personnes que je rencontre…
1985 : Être responsable de ma santé : un concept inconnu - Cela fait sept ans que je souffre d’une maladie dont les médecins me disent que je ne guérirai jamais. Jusqu’à ce qu’on me conseille de consulter un homéopathe réputé. Un seul traitement suffit pour me guérir définitivement… Lors de ma visite suivante, il me prévient : « Vous retomberez malade si vous ne changez pas votre alimentation et la manière dont vous gérez vos émotions ! » Pour la première fois de ma vie, je découvre et je comprends que je suis seul responsable de mon équilibre. C’est ce jour-là que je prends l’engagement de prendre ma santé en main de façon autonome et responsable. Ce qui m’a très bien réussi, depuis lors…
1986 : L’appel de l’aventure - 15 janvier 1986. Alors que nous sommes en méditation comme tous les soirs (ma femme, une amie proche et moi), nous vivons une expérience très particulière. Des êtres de lumière se manifestent à nous et nous invitent à quitter toutes nos sécurités pour nous mettre au service de l’Humanité. Ces contacts avec eux se poursuivent pendant sept mois. Ils nous apprennent à écouter nos intuitions, à repérer les synchronicités, à développer une foi à toute épreuve et à tirer les enseignements de ce que nous vivons. C’est à la suite de cette aventure intérieure que je décide de quitter l’université pour découvrir et réaliser ma véritable mission de vie.
1987 : La découverte de l’escroquerie vaccinale - Ananou et moi attendons notre premier enfant. En futurs parents responsables, nous nous interrogeons sur la question des vaccins. J’achète tout de suite quelques bouquins sur le sujet. Plus je lis, plus je découvre à quel point la vaccination est le plus gros mythe de l’histoire de la médecine. Je comprends alors, preuves à l’appui, que tous les vaccins, sans exception, sont inutiles, inefficaces et dangereux. Nous prenons la décision de protéger nos enfants et de ne pas les vacciner. Trente-cinq plus tard, je reste convaincu qu’être anti-vaccin est la seule posture intellectuelle saine face à cette escroquerie monumentale.
1988 : La Médecine Nouvelle du Docteur Ryke Geerd Hamer - Depuis ma guérison, je me passionne pour une conception globale de la santé. Une réponse me taraude malgré tout : qu’est-ce qui déclenche nos maladies ? Insatisfait de ce que je trouve, je cherche tous azimuts jusqu’à ce que je tombe « par hasard » sur la vision révolutionnaire du cancer et des maladies développée par le Dr Hamer… Immédiatement, je vérifie sa thèse en interrogeant les personnes de mon entourage ayant vécu un cancer. Dans 100% des cas, leurs témoignages confirment les théories du médecin allemand. À partir de là, je n’ai de cesse de présenter au public cette vision si éclairante de la santé…
1989 : Le début de ma carrière de formateur - Depuis mon départ de l’Université, j’ai changé cinq fois de métiers en trois ans. Chaque fois, le hasard et les rencontres me donnent un indice supplémentaire de la manière dont se concrétisera ma mission. Jusqu’à ce qu’on me demande, à plusieurs reprises, d’animer des séminaires de formation pour partager le fruit de nos recherches effectuées en couple sur les jeux de pouvoir. À la fin de l’année, je constate que la moitié de mes rentrées viennent des séminaires, sans avoir fait de publicité. En décembre, j’accepte de m’engager officiellement comme formateur. Trois semaines plus tard, mon agenda est rempli pour toute l’année 1990.
1993 : Le Plan Émeraude - Relations Humaines - 2 octobre 1993 : je publie mon premier livre « De l’amour du pouvoir à la Puissance de l’Amour ». Lors de son lancement officiel, je présente, en même temps, le « Plan Émeraude - Relations Humaines ». Son originalité est d’espacer de trois semaines chacune des 12 rencontres de formation. Le but de cet espacement : permettre aux étudiants de s’exercer et de s’entraîner entre deux sessions afin d’intégrer dans la durée les changements souhaités. Au-delà de cette innovation pédagogique, mon projet est de créer un véritable projet humanitaire où chaque ancien étudiant accompagne gratuitement de nouveaux groupes l’année suivante.
1994 : La tentative de recrutement du Palais Royal - Avril 1994, je suis approché par le colonel Noël Vaessen, professeur à l’ULB, précepteur du prince Laurent et responsable de la gestion du patrimoine royal de Belgique. Après m’avoir complimenté sur la pertinence de mon livre sur les jeux de pouvoir, il me propose de travailler au service du Palais Royal, pour conseiller les rédacteurs en chef de tous les médias belges (presse écrite, radios, TV). Ma mission : les aider à mieux manipuler l’opinion publique. Je refuse catégoriquement cette offre pourtant très alléchante. Grâce à cette rencontre inattendue, j’ai ma première confirmation concrète de l’existence de l’État Profond.
1994 : L’assassinat de l’Ordre du Temple Solaire (OTS) - Octobre 1994. J’effectue ma première tournée de conférences en Suisse. Au moment d’entrer dans le studio de la Radio Suisse Romande, j’apprends que des membres de l’OTS se sont suicidés la veille. Deux jours plus tard, je suis choqué d’apprendre à la télévision que le juge d’instruction a ordonné de brûler tout le contenu des deux chalets où le drame s’est déroulé. Dans les années qui suivent, de nombreuses informations récoltées auprès de témoins directs me confirment qu’il s’agissait d’un assassinat et non d’un suicide. Une opération visant à lancer une croisade contre toute pensée divergente et à réduire nos libertés fondamentales.
1995 : Premières accusations de secte - Octobre 1995. Le Plan Émeraude - Relations Humaines prépare sa troisième ouverture annuelle. Notre projet humanitaire et bénévole prend de plus en plus d’ampleur. Les groupes se multiplient à travers la francophonie, de manière harmonieuse et organique. C’est alors qu’un premier journal français dénonce l’existence d’une secte internationale qui « inquiète les autorités ». La plupart des accompagnateurs encaissent très mal ce coup de massue totalement injuste. Beaucoup quittent le projet et nous prenons, à contrecœur, la décision de tout annuler… À l’époque, je n’étais pas préparé à gérer ce genre de situations. À refaire, j’aurais persévéré.
1997 : La Gestapo des finances débarque - 2 mai 1997, le jour de mon anniversaire. L’Inspection Spéciale des Impôts (ISI) débarque au siège de mon entreprise. Deux inspecteurs m’interrogent à tour de rôle pendant sept heures d’affilée, sans interruption. Je découvre avec effroi que ça fait trois ans qu’ils me surveillent. Ils ont infiltré mes conférences, ont participé à mes séminaires, m’ont mis sur écoute téléphonique, ont relevé les numéros de plaque de tous les clients qui fréquentaient nos activités. Ils scrutent tout, vérifient tout, mais ne trouvent pas la moindre trace de fraude. Découragés, ils me quittent le soir en s’excusant. Je suis dévasté, écœuré, sous le choc…
1997 : Ma descente aux enfers - Depuis la visite de l’ISI, je broie du noir à longueur de journée. Je suis tellement dégoûté que je n’ai plus envie de me battre ; j’ai juste envie de disparaître, de vider mes comptes bancaires, d’emmener ma femme et mes trois filles à l’autre bout du monde, de changer d’identité et de refaire ma vie là-bas. Je suis en profonde dépression pendant deux mois. Jusqu’à ce que je me rende compte que c’est justement ce qu’ils cherchent : que j’abandonne ma mission de vie, que je jette le gant, que je rentre dans le rang. C’est là que je prends conscience que cette épreuve est probablement une superbe opportunité d’opérer une transformation intérieure.
1997 : La guérison de mon cancer du cervelet - Fin juin 1997. « Ce qui est à l’intérieur est comme ce qui est à l’extérieur. » Je pars de cette prémisse pour entamer une exploration alchimique de mes propres ombres intérieures, en quête des aspects inconscients chez moi qui ont permis ces accusations de secte. Après quelques séances de thérapie, je découvre mes angles morts les plus sombres. J’entreprends alors un profond processus de transmutation qui débouche sur l’apparition d’un gros kyste à l’arrière de ma tête. Le diagnostic opéré par un médecin confirme qu’il s’agit de l’expulsion d’un cancer du cervelet déclenché par le choc de la visite de l’ISI chez moi.
1999 : 21 jours sans manger, dont 7 jours sans boire - Depuis un an, j’entends parler des gens capables de vivre pendant des années sans manger ni boire. Je veux expérimenter dans mon être le processus de reprogrammation de mes propres cellules. Le 1er août, j’entame une retraite dans un chalet suisse sans aucun contact, sans radio, sans TV, sans livre et… sans aucune nourriture. Les sept premiers jours sans boire sont très difficiles, mais je tiens. Je profite de ma retraite pour répondre à la question : « Que vais-je faire de la suite de ma vie ? » À la fin, mes cellules n’ont pas basculé en mode pranique… mais j’ai reçu une réponse : j’arrête de travailler pour les entreprises.
2001 : Le complot du 11 septembre 2001 - Le jour même des attentats du 11 septembre, je m’exclame : « Avec les assassinats de l’OTS, ils ont commencé à réduire nos libertés pour nous protéger des prétendues sectes dangereuses apocalyptiques. À présent, c’est à l’échelle mondiale qu’ils vont réduire nos libertés avec de faux attentats, sous prétexte de nous protéger des prétendus terroristes ! » Depuis lors, des dizaines de documentaires, des centaines de témoignages n’ont fait que confirmer mon intuition : le Nouvel Ordre Mondial est bien en marche selon un agenda diabolique planifié de longue date… Malheureusement, à l’époque, rares sont ceux qui veulent voir et comprendre.
2002 : Mes deux années sabbatiques - Juin 2002. J’anime ma dernière journée de formation en entreprise, conformément à la décision prise en août 1999. Je ne veux plus mettre mes compétences au service de ce milieu dont la logique est devenue de plus en plus écrasante à l’égard des êtres humains. Cette décision signifie une baisse de 90% de mon chiffre d’affaires. Je vends tous mes biens immobiliers et je réduis drastiquement mes dépenses. Je reviens à l’essentiel et je sens la nécessité d’une pause sabbatique pour être davantage présent à ma femme et mes trois filles. Pendant cette période, je découvre le bonheur d’être, plutôt que de faire, le bonheur d’aimer et de prendre soins.
2004 : Mon émigration au Québec - Août 2004. Pendant ma période sabbatique, une évidence s’impose à moi : je ne veux plus passer ma vie sur les routes, dans les aéroports, dans les trains et dans les hôtels. Je veux continuer à ouvrir les cœurs et les consciences, mais je ne veux plus voyager. Je choisis alors de me tourner vers l’industrie de l’audiovisuel et de suivre des formations de scénariste, de réalisateur et de producteur de films. L’école qui correspond le mieux à mes critères est située à Montréal : c’est l’Institut National de l’Image et du Son (INIS). Je passe les épreuves d’admission avec succès et je décide d’émigrer au Québec pour entamer une nouvelle vie.
2008 : Mon documentaire sur Hamer - À ma sortie de l’INIS, je produis un documentaire consacré à l’œuvre du docteur Hamer. Je tiens à rendre hommage à cet homme qui a payé très cher le fait de démontrer que le cancer peut être guéri sans intervention médicale, risquant de faire perdre des dizaines de milliards de dollars chaque année à Big Pharma. Mes premières tournées de projection publique rencontrent un immense succès, jusqu’à ce qu’elles soient interdites par le premier ministre français. Je les remplace alors par des conférences au cours desquelles je vends d’autant plus de DVD du documentaire qu’ils étaient interdits. Une belle manière de faire de l’aïkido avec le pouvoir…
2009 : La pseudo-pandémie de grippe H1N1 - Après les assassinats de l’OTS et les attentats du 11 septembre, je vois poindre une nouvelle étape dans l’instauration d’un gouvernement mondial : une alerte pandémique de grippe porcine, rebaptisée H1N1. Je pressens qu’ils veulent utiliser la peur de mourir pour faire accepter aux populations une dictature sanitaire visant la vaccination obligatoire, le traçage des populations, le contrôle renforcé des dissidents et la suppression de toutes les méthodes naturelles de santé et d’alimentation. Mon choix est vite fait : je préfère prendre le risque d’être tué que de vivre dans une dictature que je n’aurais pas essayé de contrecarrer.
2010 : Le temps du désenchantement - Depuis la fin de mon combat H1N1 contre la propagande mensongère des médias, des gouvernements, des scientifiques et des instances de santé publique, je mesure à quel point les populations sont devenues fragiles et influençables. Je constate également qu’une fois de plus, cette opération sous faux drapeau a permis à l’État Profond de réduire encore nos droits et nos libertés. Je plonge dans une longue période de désenchantement où je me demande s’il est encore utile de me battre pour apprendre aux gens à vivre leur vie de manière autonome, consciente et responsable. Ce n’est qu’en février 2012 que je retrouve le goût de servir à nouveau.
2013 : Le grand virage numérique - Novembre 2012. Je suis trahi par le partenaire avec qui je diffuse l’approche Transurfing. Me voyant empêché de poursuivre cette activité en 2013, je saisis l’opportunité que m’offre un agenda vide pour me lancer dans la création d’une première école en ligne. Le 19 avril 2013, j’ouvre les inscriptions de l’Académie de la Vie en Mouvement et nous réalisons 650 000 dollars de ventes en une semaine, cinq fois plus que je ne réalisais en un an avec Transurfing. Dans les deux années qui suivent, les ventes explosent pour atteindre 4 millions en 2015. Une confirmation que les épreuves cachent souvent des cadeaux inattendus, à condition de pouvoir les saisir !
2017 : L’urgence de réenchanter le monde - Avril 2017. L’élection d’Emmanuel Macron est, pour moi, un coup de massue. Connaissant son parcours et ses promoteurs (Attali, Forum Économique Mondial, banque Rothschild, compagnies pharmaceutiques), je sais que l’agenda des mondialistes prend un nouveau coup d’accélérateur. À ce moment, je ressens profondément l’urgence de réenchanter le monde. M’inspirant du mouvement des créatifs culturels, je commence en 2017 la gestation du réseau des cercles réenchanteurs. Les préparatifs en groupes débutent, quant à eux, le 1er janvier 2020. Pour être malheureusement freinés quelques mois plus tard par une nouvelle crise sanitaire.
2020 : La pseudo-pandémie de COVID-19 - 3 février 2020. Je publie ma première vidéo consacrée à ce que je considère directement comme un remake de la grippe H1N1. Je pensais sincèrement que mon combat contre cette propagande ne durerait que quelques mois. À l’heure où je rédige ces lignes, nous nous trouvons toujours plus empêtrés dans les griffes d’un régime totalitaire mondial qui ne cache même plus ses intentions. Grâce à cette crise, je ne me suis jamais senti grandir aussi rapidement en conscience, en amour, en compétence et en connaissance. Une fois de plus, la Vie me prouve que les épreuves sont mises sur notre chemin pour nous offrir des cadeaux de croissance… À suivre donc !